ENVIRONNEMENT VS SOCIÉTÉ

La lessive 

Les Impacts 

En France, les ménages font 7,3 milliards de lessives par an, soit 20 millions de lessive par jour. Ce qui fait en moyenne 5 lessives par semaine. En comptant 29 millions de ménage en 1/3 de personne seule, 1/3 de deux personnes, et de 1/3 vivant de trois personnes à plus.

Chaque famille fait en moyenne 220 lessives par an et utilise 26 litres de lessive liquide ou 40 kg de lessive en poudre si il respecte le dosage conseillés. Mais plus de la moitié des français utilisent de la lessive liquide et non poudreuse.

On peu y trouver plusieurs composant, ça peut aller jusqu’à 25 molécules. On y trouve des agents tensioactifs, des agents de blanchiment, des polymère anti-redéposition, adoucissants et agents complexes, solvants, conservateurs, et parfum. Les agents tensioactifs sont des successeurs de savon plus efficaces mais plus polluants par conséquences. Certains agents sont interdit dans plusieurs pays car ils sont considéré comme trop toxique. Les agents de blanchiment sert à blanchir et pour cela ils sont composés de percarbonate, non nocif et le perborate qui lui est nocif pour l’environnement. Ensuite les polymères sont là pour éviter que les saletés enlevés ne se remette sur le linge au moment du lavage. Cela se produit avec du carboxyméthyl cellulose par exemple. Les adoucissants et agents complexes comme on le connaît bien sert à adoucir les vêtement par l’eau. Il y a parmi eux des substances non biodégradables ou même cancérigène.

La lessives n’est pas seulement nocif par ses composants mais aussi par son suremballage. Le plastique nous le savons est nocif dans sa conception et dans son utilisation future.

En effet, l'eau évacuée de la machine à laver entre dans le réseau d'eaux usées, qui finit par pénétrer dans le milieu aquatique après avoir traversé la station d'épuration. Depuis 2007, la réglementation interdit l'utilisation des phosphates qui provoquent la croissance des algues et l'eutrophisation de l'eau. Mais qu'en est-il de tous les autres composants? La pollution de l'eau par les micropolluants est un problème majeur et les stations d'épuration ont rencontré de nombreuses difficultés pour les traiter.

Ce n'est que des avantages de faire sa lessive avec des produits naturels ! Cela permet de faire une activité avec ou non les enfants. Ainsi que d'apprendre les impacts que nous pouvons avoir. 

Recette de lessive pour la maison : 

Ingrédiens:

1 L d’eau chaude

20g de savon de paillettes de Marseille

1 cuillère à soupe de bicarbonate de soude

1 cuillère à soupe de vinaigre blanc

20g de savon noir liquide

1 cuillère à café de cristaux de soude

10 gouttes huiles essentiels

Procédure:

Il faut faire bouillir le tout jusqu’à ce que le savon soit dissous

puis le mettre dans un récipient en y mettant plus ou moins d’huile

essentiel en fonction de vos goût. Comme du pin, eucalyptus, thym,

tea tree, la fleur d’oranger peu être mis aussi mais il n’est pas anti-bactériens contrairement aux autres. 

La frabrication de lessive à partir de produit naturel est une bonne alternative à la lessive de grande industrie. 

Le projet Manta un défi technologique

Un bateau géant pour nettoyer les océans. Le projet Manta est une création porté par Yvan Bourgnon depuis 2018 imaginé par l’association The Sea Cleaners.

The Sea Cleaners fondée en septembre 2016 est une association visant la lutte contre la pollution.

La bateau nommé Manta s’inspire de la forme d’une raie manta. C’est le premier navire capable de collecter et de traiter en continue de grandes quantités de macro-déchets plastiques flottant à la surface des mers. Or mi la mission première de nettoyer la mer, c’est aussi une plateforme de recherche scientifique ainsi que de sensibilisation le public à travers les escales.

Unique et complexe !

Après un an et demi d’études de faisabilité et de recherche de financement la maquette finale du navire est enfin fini.

Il combine des technologies de propulsion, de production d’énergies de sources renouvelables ou des valorisation des déchets, et les missions auxquelles il est destiné, cela fait de lui un projet unique à innovation multiple.

Cette petite usine transportable possède une capacité de stockage 250 tonnes et 600 m³ grâce a leurs dimensions aussi large que le canal du Panama c’est-à-dire 49 mètres de large sur 70 mètres de long pour 61 mètres de hauteur. Grâce à leurs manœuvrabilité ils auront accès aux hautes mer les plus polluées, aussi bien que le long des côtes, ou encore dans les estuaires des 10 grands fleuves d’où proviendraient 90 % de la pollution plastique déversée dans les océans. Pour cela ils ont besoin d’une grande capacité d’autonomie qui se fait par de nombreux panneaux solaires servit pour l’électricité ainsi que des éoliennes.

Il est propulsé par des voiles et 4 moteurs électriques, fonctionnant grâce à des technologies de production d’énergie renouvelable embarquées et un système de stockage optimisé,, et sera équipé de 3 collecteurs entre les coques. Ces collecteurs pourront ramener rapidement les déchets sur le navire, vers l’unité de tri manuel.

Les déchets

Les déchets une fois ramené au Manta par un système de tapis roulants, les différentes matières plastiques seront séparées en fonction de leurs réutilisation ou non, pour être ensuite compacté en balles de 1 mètres cube. La capacité de stockage de 250 tonnes sera mis sous les coques pour être ensuite acheminées à terre afin qu’ils soient recyclés.

Pour de gros déchets comme les filets, containers, … ce sont deux grues puissantes qui les sortiront de l’eau, pour êtres stockés dans les filières dédiées sur terre.

Tout a été planifiés afin de ne pas mettre en danger la vie marine. Il sera équipé d'un système d'émission sonore pour empêcher les baleines et autres poissons de rester à l'écart du chenal et éviter leur capture accidentelle.

L’association a prévu de le mettre en construction cette année afin d’effectuer ces premières mission en 2022 mais malheureusement il n’est pas entièrement financé et elle demande donc de l’aide. C’est pour cela que Yvan Bourgnon a annoncé que les 25 % financé vont permettre de construire un mini collecteur de 7 mètres en attendant le financement complet. 

Un film exceptionel donnant de l'espoir pour notre future d'où le nom Demain du film. 

Cyril et Mélanie ont voulus montrer, à travers leur film, les solutions dans le monde, raconter
une histoire qui nous donne de l'espoir, pour résumer montrer ce que pourrait être le
monde de demain. Un monde dans lequel l’Homme et la nature vivraient en
harmonie et en interaction.

A travers la rencontre des pionniers qui réinventent l’agriculture,
l’énergie, l’économie, la démocratie et l’éducation. En mettant bout à
bout ces initiatives positives et concrètes, cela donne une réussite à l'avancer.
C'est suite à la publication d’une étude qui annonce la possible
disparition d’une partie de l’humanité d’ici 2100, l’équipe a décidé
d’essayer de résoudre les crises écologiques, économiques et sociales,
que traversent les pays, à l’aide des différentes solutions proposées
dans leur film Demain. Ils se sont lancés dans cette aventure
principalement pour permettre un meilleur avenir à leurs enfants.
Ils montrent ces différentes solutions à partir de 10 pays: La France, l'île de la réunion, Le Danemark, Finlande, Belgique, Inde, Grande Bretagne, Etat-Unis, Suisse, Suède et l'Island. 

L’auteur a voulu montrer les solutions existantes, le monde que nous pourrions avoir si
nous réagissons et non pas le monde qu’il nous attends si nous ne faisons rien. Il a voulu
donner l’espoir aux gens, leur prouver que c’est possible si nous le voulons.

Notre société découvre de nouvelle technologie révolutionnant le monde de l’industrie et du commerce comme les drones, les robots en industrie … ce qui met à profit le commerce et le développement du pays en thermes de richesse. La société a pour objectif de gagner plus en faisant le moins possible. On en vient à se dire : « L’environnement doit-il s’adapter à la société ou est-ce l’inverse ? », ou bien « La société évolue t-elle en adéquation avec l’environnement ? ». Il y a plusieurs enjeux à prendre en compte, les enjeux socioculturels qui seraient les activités de pleine air, avec des animaux, activités professionnels. Les enjeux politiques sont de gérer l’ensemble afin que se soit durable sans négliger le social, économique et environnemental. Les enjeux économiques sont de pas négliger le développement de la société pour l’environnement et inversement.

Sans cette nature qu’adviendraient-ils de nous, sans aucune ressource d’alimentation, de l’air respirable, de création, de découverte. Les technologies avances mais seront nous capable de reconstruire un écosystème durable comme celui-ci si il advient à disparaître.

Laura Boisdron